Bienvenue à Yersin [Texte imprimé] / Christelle, Martin-Manfredi

Main Author: Martin-Manfredi, Christelle, AuteurLanguage: français.Country: France.Publication: [Lyon], 15 quai André-Lassagne, 69001 : Biblys éd., 2002, 42-Saint-Just-la-Pendue : Impr. ChiratDescription: 134 p. ; 21 cmISBN: 2951921403.Classification: Abstract: Yersin est le bactériologiste français qui découvrit le microbe de la peste en 1894 et montra l'unicité de la maladie du rat et de celle de l'homme. Cette dualité est sans doute l'une des clefs de l'ouvrage de Christelle Martin. Un roman où alternent des images dures de la maladie et la relation du mal-être de l'héroïne, l'esthétisme de l'horreur et une révolte que peut susciter notre temps. Les langages s'y mêlent pour suggérer l'angoisse sans la décrier : l'art du contrepoint, l'usage du pointillisme, de l'impressionnisme, une inspiration calligraphique dans la forme. Si les premières pages déroutent par leur sobriété presque provocante, l'émotion, peu à peu, lâche la bonde et l'on est entraîné. .Subject: peste | sida | lesbienne
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Livre Bibliothèque du Centre LGBTI Lyon
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Livre Le Brrrazero
Salle de lecture
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Livre Mémoire des sexualités

L’association Mémoire des Sexualités s'organise autour des fonds documentaires réunis depuis plus de 40 ans par Christian de Leusse. Elle rend accessibles les archives et s'attache à visibiliser et à faire vivre la pluralité de nos mémoires.

Fonds Mémoire des sexualités Consultable sur place Don du centre LGBTI Lyon

Yersin est le bactériologiste français qui découvrit le microbe de la peste en 1894 et montra l'unicité de la maladie du rat et de celle de l'homme. Cette dualité est sans doute l'une des clefs de l'ouvrage de Christelle Martin. Un roman où alternent des images dures de la maladie et la relation du mal-être de l'héroïne, l'esthétisme de l'horreur et une révolte que peut susciter notre temps. Les langages s'y mêlent pour suggérer l'angoisse sans la décrier : l'art du contrepoint, l'usage du pointillisme, de l'impressionnisme, une inspiration calligraphique dans la forme. Si les premières pages déroutent par leur sobriété presque provocante, l'émotion, peu à peu, lâche la bonde et l'on est entraîné.

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