Le Jardin d'acclimatation / Yves Navarre
Language: français ; of original work, français.Country: France.Publication: Paris : Flammarion, 1980Description: 379 p. ; 17 cmISBN: 2-253-02827-4.Series: Le Livre de poche, 5579Classification: Abstract: Ce qui importe, c’est cette fresque grouillante de mots, ce portrait à l’acide d’une famille française qui glisse ses doutes, ses fêlures, se livrant avec nous avec lenteur et une certaine dureté. Toutes les fissures d’une vie, toutes les craintes, toutes les faiblesses s’y avouent par bribes. Jamais Navarre, peintre de la famille bourgeoise, ne s’était fait aussi précis, aussi poignant”. - Gilles Pudlowski, les Nouvelles littéraires. Vingt ans après, le jour anniversaire du crime sans cadavre, toute la famille Prouillan est secouée par un grand frisson d'horreur et de mémoire : c'est ce frisson qu'Yves Navarre raconte en 400 pages d'une densité, d'une tendresse et d'une férocité superbes. - François Nourissier. Le Figaro magazine. Par des touches, en sourdine, Yves Navarre dénonce le conformisme bourgeois, le rôle abusif du père, vis-à-vis de ses enfants, il parle de la solitude qui garde l'homme prisonnier de lui-même, il fait palpiter les coeurs, et même lorsqu'il fustige la famille, c'est un désarroi, un appel de tendresse que l'on devine entre les lignes. - Françoise de Comberousse. France-Soir.Subject: drame familial | conformisme bourgeois | lobotomie | homophobie | homosexualité masculineItem type | Current library | Call number | Status | Date due | Barcode |
---|---|---|---|---|---|
Livre | Collectif Archives LGBTQI+ Paris-Ile de France Salle de lecture | En traitement | 0000000125 |
Prix Goncourt 1980
Ce qui importe, c’est cette fresque grouillante de mots, ce portrait à l’acide d’une famille française qui glisse ses doutes, ses fêlures, se livrant avec nous avec lenteur et une certaine dureté. Toutes les fissures d’une vie, toutes les craintes, toutes les faiblesses s’y avouent par bribes. Jamais Navarre, peintre de la famille bourgeoise, ne s’était fait aussi précis, aussi poignant”. - Gilles Pudlowski, les Nouvelles littéraires.
Vingt ans après, le jour anniversaire du crime sans cadavre, toute la famille Prouillan est secouée par un grand frisson d'horreur et de mémoire : c'est ce frisson qu'Yves Navarre raconte en 400 pages d'une densité, d'une tendresse et d'une férocité superbes. - François Nourissier. Le Figaro magazine.
Par des touches, en sourdine, Yves Navarre dénonce le conformisme bourgeois, le rôle abusif du père, vis-à-vis de ses enfants, il parle de la solitude qui garde l'homme prisonnier de lui-même, il fait palpiter les coeurs, et même lorsqu'il fustige la famille, c'est un désarroi, un appel de tendresse que l'on devine entre les lignes. - Françoise de Comberousse. France-Soir
There are no comments on this title.