Le capitalisme patriarcal ; traduit par Étienne Dobenesque / Silvia, Federici
Language: français ; of original work, anglais.Country: France.Publication: Description: 1 vol. (190 p.) ; 17 cmISBN: 9782358721783.Dewey: 330.082, 23Classification: Abstract: Comment faire tourner les usines sans les travailleurs vigoureux, nourris, blanchis, qui occupent la chaîne de montage ? Loin de se limiter au travail invisible des femmes au sein du foyer, Federici met en avant la centralité du travail consistant à reproduire la société : combien couterait de salarier toutes les activités procréatives, affectives, éducatives, de soin et d’hygiène aujourd’hui réalisées gratuitement par les femmes ? Que resterait-il des profits des entreprises si elles devaient contribuer au renouvellement quotidien de leur masse salariale ? La lutte contre le sexisme n’exige pas tant l’égalité de salaire entre hommes et femmes, ni même la fin de préjugés ou d’une discrimination, mais la réappropriation collective des moyens de la reproduction sociale, des lieux de vie aux lieux de consommation – ce qui dessine l’horizon d’un communisme de type nouveau..Subject - Topical Name: Capitalisme -- Marxisme | Féminisme marxiste | Patriarcat (sociologie) Subject: marx marxisme féminisme essaiItem type | Current library | Call number | Status | Date due | Barcode |
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Livre | Les L'un.e.s | 330.082 (Browse shelf (Opens below)) | Available |
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323.119 6073 Le pouvoir noir | 325.349 3 Traces et tensions en terrain colonial | 325.44 La république mise a nu par son immigration | 330.082 Le capitalisme patriarcal | 331.204 1366 Te plains pas, c'est pas l'usine | 362.196 8950092 Goupil ou face | 363.209 44 La domination policière |
Bibliogr. p. 173-184
Comment faire tourner les usines sans les travailleurs vigoureux, nourris, blanchis, qui occupent la chaîne de montage ? Loin de se limiter au travail invisible des femmes au sein du foyer, Federici met en avant la centralité du travail consistant à reproduire la société : combien couterait de salarier toutes les activités procréatives, affectives, éducatives, de soin et d’hygiène aujourd’hui réalisées gratuitement par les femmes ? Que resterait-il des profits des entreprises si elles devaient contribuer au renouvellement quotidien de leur masse salariale ?
La lutte contre le sexisme n’exige pas tant l’égalité de salaire entre hommes et femmes, ni même la fin de préjugés ou d’une discrimination, mais la réappropriation collective des moyens de la reproduction sociale, des lieux de vie aux lieux de consommation – ce qui dessine l’horizon d’un communisme de type nouveau.
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