Le traumatisme de la naissance [Texte imprimé] : influence de la vie prénatale sur l'évolution de la vie psychique individuelle et collective ; traduit de l'allemand par le docteur S. Jankélévitch ; postf. du Dr Claude Girard / Samuel, Jankélévitch / Otto, Rank
Translation of: Das Trauma der GeburtLanguage: français ; of original work, allemand.Country: France.Publication: Paris : Payot, 1928, Mayenne : Impr. FlochDescription: 1 vol. (256 p.) ; 23 cmSeries: Bibliothèque scientifiqueDewey: 618.920 1, 23Abstract: Pourquoi la mère est-elle tantôt objet d'amour, tantôt objet de haine ? Pourquoi les moments de séparation provoquent-ils une telle angoisse chez le nourrisson ? Avant Melanie Klein et Winnicott, Otto Rank jeta, en 1924, les bases de la psychanalyse des tous premiers stades de la vie. Le traumatisme de la naissance n'est pas celui de l'accouchement, mais d'une perte. Chaque nouvelle vie trouve son premier objet, la mère, pour le perdre aussitôt : c'est la catastrophe originaire. Même avec la plus douce des mères et la naissance la moins violente, l'être humain naît dans l'angoisse. Voici l'acte premier d'une tragédie qui se vit autant dans le corps que dans le psychisme, et qui ouvre à notre relation ambivalente à la mère, avant tout Oedipe..Subject - Topical Name: Naissance, Traumatisme de la | Influences prénatales -- Aspect psychologique Subject: psychanalyse | traumatisme | vie pré-natale | vie psychique | naissanceItem type | Current library | Collection | Call number | Status | Date due | Barcode |
---|---|---|---|---|---|---|
Livre |
Mémoire des sexualités
L’association Mémoire des Sexualités s'organise autour des fonds documentaires réunis depuis plus de 40 ans par Christian de Leusse. Elle rend accessibles les archives et s'attache à visibiliser et à faire vivre la pluralité de nos mémoires. |
Fonds Daniel Guérin | Consultable sur place |
Pourquoi la mère est-elle tantôt objet d'amour, tantôt objet de haine ? Pourquoi les moments de séparation provoquent-ils une telle angoisse chez le nourrisson ? Avant Melanie Klein et Winnicott, Otto Rank jeta, en 1924, les bases de la psychanalyse des tous premiers stades de la vie. Le traumatisme de la naissance n'est pas celui de l'accouchement, mais d'une perte. Chaque nouvelle vie trouve son premier objet, la mère, pour le perdre aussitôt : c'est la catastrophe originaire. Même avec la plus douce des mères et la naissance la moins violente, l'être humain naît dans l'angoisse. Voici l'acte premier d'une tragédie qui se vit autant dans le corps que dans le psychisme, et qui ouvre à notre relation ambivalente à la mère, avant tout Oedipe.
There are no comments on this title.