Mère Cuba [Texte imprimé] : roman ; traduit de l'espagnol (Cuba) par Marianne Millon / Marianne, Millon / Wendy, Guerra

Translation of: Nunca fui primera damaMain Author: Guerra, Wendy, 1970-...., AuteurSecondary Author: Millon, Marianne, 1961-...., TraducteurLanguage: français ; of original work, espagnol.Country: France.Publication: Paris : Stock, impr. 2009, 72-La Flèche : Impr. CPI Brodard et TaupinDescription: 1 vol. (291 p.) : couv. ill. ; 20 cmISBN: 9782234062269.Series: La cosmopoliteClassification: Abstract: Animatrice de radio, suspendue d’antenne, Nadia Guerra obtient une bourse pour Paris, mais l'art n'est pas sa seule motivation ; elle part aussi à la recherche de sa mère, Albis Torres. Elle va finalement la retrouver à Moscou. En fouillant dans ses affaires, elle retrouve le journal que celle-ci tenait à Cuba, à la veille de la Révolution, une époque cruciale, journal dans lequel elle fait, notamment, le portrait de l’héroïne révolutionnaire Celia Sánchez. Mère Cuba, dans la lignée de Tout le monde s'en va, nous immerge au cœur d'une génération qui porte un héritage révolutionnaire aussi lourd que fascinant, mettant à nu la mémoire de la nation cubaine tout entière. Une poésie des instants […] qui laisse en lecture un étonnant sentiment de proximité avec ce « pays de personne » où le « temps est sépia » et la « douleur salée ». Xavier Houssin, Le Monde des livres..Subject: révolution relation mère fille
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Animatrice de radio, suspendue d’antenne, Nadia Guerra obtient une bourse pour Paris, mais l'art n'est pas sa seule motivation ; elle part aussi à la recherche de sa mère, Albis Torres. Elle va finalement la retrouver à Moscou.
En fouillant dans ses affaires, elle retrouve le journal que celle-ci tenait à Cuba, à la veille de la Révolution, une époque cruciale, journal dans lequel elle fait, notamment, le portrait de l’héroïne révolutionnaire Celia Sánchez. Mère Cuba, dans la lignée de Tout le monde s'en va, nous immerge au cœur d'une génération qui porte un héritage révolutionnaire aussi lourd que fascinant, mettant à nu la mémoire de la nation cubaine tout entière.
Une poésie des instants […] qui laisse en lecture un étonnant sentiment de proximité avec ce « pays de personne » où le « temps est sépia » et la « douleur salée ». Xavier Houssin, Le Monde des livres.

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