Brèche vers l'enfer [Texte imprimé] ; trad. de l'américain par Nathalie Serval / Kathe, Koja
Translation of: The cipherLanguage: français ; of original work, anglais.Country: France.Publication: Paris : Éd. J'ai lu, 1993, 72-La Flèche : Impr. Brodard et TaupinDescription: 314 p. : couv. ill. ; 17 cmISBN: 2277235490.Series: J'ai lu, EpouvanteClassification: Abstract: C'est à cause de Nakota que tout a commencé. Moi j'étais pas chaud. Ce trou, là, dans le sol de mon immeuble, c'était quoi au juste ? C'était noir, ça pulsait, ça sentait une odeur bizarre, pas vraiment désagréable. Mais enfin, c'était pas normal. On aurait dit que c'était organique, que ça vivait. En fait, ce trou, ce gouffre sans fond, cette faille, cette brèche, ça me foutait les jetons. Ça menait où ? Nakota, elle, toujours curieuse... ça l'attirait comme un aimant. Plus fort qu'elle, fallait toujours qu'elle y retourne. Un jour, elle a eu l'idée d'y jeter des insectes. Puis une souris... Quand on a vu comment les bestioles ressortaient, moi j'ai flippé. Pas Nakota. Elle a voulu filmer les entrailles de la brèche avec une caméra vidéo. A l'époque, on se doutait pas de ce qui nous attendait. Cette brèche, c'était la porte de l'enfer. Rien que ça..Subject: fantastique | horreurItem type | Current library | Call number | Status | Date due | Barcode |
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Livre | Le Brrrazero Salle de lecture | I KOJ (Browse shelf (Opens below)) | Available | 100000001374 |
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C'est à cause de Nakota que tout a commencé. Moi j'étais pas chaud. Ce trou, là, dans le sol de mon immeuble, c'était quoi au juste ? C'était noir, ça pulsait, ça sentait une odeur bizarre, pas vraiment désagréable. Mais enfin, c'était pas normal. On aurait dit que c'était organique, que ça vivait. En fait, ce trou, ce gouffre sans fond, cette faille, cette brèche, ça me foutait les jetons. Ça menait où ?
Nakota, elle, toujours curieuse... ça l'attirait comme un aimant. Plus fort qu'elle, fallait toujours qu'elle y retourne. Un jour, elle a eu l'idée d'y jeter des insectes. Puis une souris... Quand on a vu comment les bestioles ressortaient, moi j'ai flippé. Pas Nakota. Elle a voulu filmer les entrailles de la brèche avec une caméra vidéo. A l'époque, on se doutait pas de ce qui nous attendait. Cette brèche, c'était la porte de l'enfer. Rien que ça.
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