Henry de Montherlant. Les Olympiques [Texte imprimé] / Henry de, Montherlant

Main Author: Montherlant, Henry de, 1895-1972, AuteurUniform Title: 13193116Les olympiques, français, lien automatiqueLanguage: français.Country: France.Publication: Paris : Crès, 1927Description: ; In-18Abstract: Sous le titre Les Olympiques sont réunis deux textes publiés - en 1924 : Le paradis à l'ombre des épées et Lés onze devant la porte dorée. Le paradis, c'est le stade, véritable pierre de touche des êtres : dans l'effort s'impose la seule hiérarchie de la valeur personnelle - les distinctions de classe ou de fortune ne comptent pas sur la cendrée. Le sport ne va pas sans cruauté, comme le démontre l'âpre épisode de Mademoiselle de Plémeur, championne du « trois cents », mais sa dureté même fait sa noblesse. Le plus bel exemple de la valeur des jeux du stade, c'est le héros du Paradis et des Onze qui le donne: Jacques Peyrony, le jeune garçon passionné de « l'assoce ». De sa plume nerveuse, « en forme » comme l'athlète, Henry de Montherlant passe des scènes dé genre à des poèmes en prose. Les Olympiques sont un hommage à l'humanisme du sport en même temps qu'une des œuvres les plus caractéristiques de Montherlant. Paul Souday écrivit, à leur publication, qu' « elles ouvraient grandes les fenêtres de la chambre où venait de mourir PROUST »..Subject: nouvelles | roman | sport
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Livre Mémoire des sexualités

L’association Mémoire des Sexualités s'organise autour des fonds documentaires réunis depuis plus de 40 ans par Christian de Leusse. Elle rend accessibles les archives et s'attache à visibiliser et à faire vivre la pluralité de nos mémoires.

Fonds de Christian de Leusse Consultable sur place

Sous le titre Les Olympiques sont réunis deux textes publiés - en 1924 : Le paradis à l'ombre des épées et Lés onze devant la porte dorée. Le paradis, c'est le stade, véritable pierre de touche des êtres : dans l'effort s'impose la seule hiérarchie de la valeur personnelle - les distinctions de classe ou de fortune ne comptent pas sur la cendrée. Le sport ne va pas sans cruauté, comme le démontre l'âpre épisode de Mademoiselle de Plémeur, championne du « trois cents », mais sa dureté même fait sa noblesse.
Le plus bel exemple de la valeur des jeux du stade, c'est le héros du Paradis et des Onze qui le donne: Jacques Peyrony, le jeune garçon passionné de « l'assoce ».
De sa plume nerveuse, « en forme » comme l'athlète, Henry de Montherlant passe des scènes dé genre à des poèmes en prose.
Les Olympiques sont un hommage à l'humanisme du sport en même temps qu'une des œuvres les plus caractéristiques de Montherlant. Paul Souday écrivit, à leur publication, qu' « elles ouvraient grandes les fenêtres de la chambre où venait de mourir PROUST ».

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