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010 _a9782070454334
_bbr.
_d5,40 EUR
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200 _aThérèse et Isabelle
_bTexte imprimé
_fViolette, Leduc
210 _a[Paris]
_cGallimard
_dimpr. 2013
_eimpr. en Espagne
215 _a1 vol. (142 p.)
_ccouv. ill. en coul.
_d18 cm
225 _aCollection Folio
_v5657
300 _a À propos «Isabelle allongée sur la nuit enrubannait mes pieds, déroulait la bandelette du trouble. Les mains à plat sur le matelas, je faisais le même travail de charme qu'elle. Elle embrassait ce qu'elle avait caressé puis, de sa main légère, elle ébouriffait et époussetait avec le plumeau de la perversité. La pieuvre dans mes entrailles frémissait, Isabelle buvait au sein droit, au sein gauche. Je buvais avec elle, je m'allaitais de ténèbres quand sa bouche s'éloignait. Les doigts revenaient, encerclaient, soupesaient la tiédeur du sein, les doigts finissaient dans mon ventre en épaves hypocrites.» Dans Thérèse et Isabelle, longtemps censuré, Violette Leduc tente de «rendre le plus minutieusement possible les sensations éprouvées dans l'amour physique». Voici des pages âpres et précieuses, d'une liberté de ton qu'aucune femme écrivain n'avait osé prendre en France avant elle.
410 0 _034234540
_tCollection Folio
_x0768-0732
_v5657
610 _alesbien
610 _aérotique
686 _2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française
700 _311912057
_aLeduc
_bViolette
_f1907-1972
_4070
801 0 _aFR
_bFR-751131015
_c20131029
_gAFNOR