000 01898cam a2200337 4500
001 1555
010 _bBr.
_d20 F
_a2070279197
_bréimpr. 1989
020 _aFR
_b07901576
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099 _tLIVR
100 _a19790104d1978 m y0frey50 ba
101 0 _afre
102 _aFR
105 _a||||z 00|a|
106 _ar
200 _aPompes funèbres
_bTexte imprimé
_fJean, Genet
210 _a[Paris]
_cGallimard
_d1978
_e18-Saint-Amand
_gImpr. S.E.P.C.
215 _a306 p.
_d19 cm
225 _aL'Imaginaire
_x0151-7090
_v34
330 _aDans Pompes funèbres (1947), Jean Genet propose une vision homoérotisée d'Hitler, ainsi qu'un regard trouble sur les rapports qu'entretiennent la violence nazie et l'attirance sexuelle. Il adopte dans le même ouvrage une partie du point de vue de la Milice et pointe la fascination de celle-ci pour la mise en scène du culte du corps et de la virilité développés par le nazisme. Cela ne fait pas pour autant de Jean Genet un thuriféraire du régime nazi ou de la collaboration. Tout d'abord, ce texte est écrit par Jean Genet afin de pratiquer un travail de deuil : son ami, Jean Décarnin, résistant communiste, vient d'être assassiné par un milicien. Pompes funèbres s'ouvre sur l'enterrement de Décarnin.
410 0 _034226014
_tCollection L'Imaginaire
_x0151-7090
_v34
610 _anazisme
610 _arésistance
610 _aérotique
610 _apoétique
686 _2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française
700 _311998463
_aGenet
_bJean
_f1910-1986
_4070
801 0 _aFR
_bFR-751131015
_c19790104
_gAFNOR