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_bbr.
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200 _aCe sont amis que vent emporte
_bTexte imprimé
_eroman
_fYves, Navarre
210 _aParis
_cLibrairie générale française
_d1993
_e72-La Flèche
_gImpr. Brodard et Taupin
215 _a153 p.
_ccouv. ill. en coul.
_d20 cm
225 _aLe livre de poche
_v9722
310 _aAvenue Coloniale, à Montréal, Roch, sculpteur, québécois, vit depuis vingt ans avec David, danseur, apatride. L'atelier de Roch est leur point de chute. Montréal est leur port d'attache. Tous deux sont atteints du sida, phase terminale. David décide de cesser les traitements et Roch, en valet de coeur, écrit leur histoire d'amour pour aider son ami à partir en douceur. Douceur ou douleur ? Les mots ont-ils un pouvoir thérapeutique ? Il y a de l'inespoir dans ce roman qui célèbre la vie. Où il est dit que " chacun mange l'autre, chacun enfile la peau de l'autre. L'esprit demeure, l'esprit libre ne meurt pas, Maudits soient celles et ceux qui rendent le malheur malheureux. Le malheur est vigueur, capacité, appel, il ne faut pas attendre de réponse. " Ce sont amis que vent emporte, roman de la lignée des Loukoums et du Jardin d'acclimatation, propose une réponse à la pire des fictions, quand elle est réalité.
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_tLe Livre de poche
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686 _2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française
700 _311917461
_aNavarre
_bYves
_f1940-1994
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_bFR-751131015
_c19931009
_gAFNOR