000 02378nam a2200325 4500
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200 _aL'Énigme
_bTexte imprimé
_ed'un sexe à l'autre
_gtraduit de l'anglais par Georges Magnane
_fGeorges Magnane
_fJan Morris
210 _a[Paris]
_cGallimard
_d1974
_e53-Mayenne
_gimpr. Floch
215 _a215 p.
_d21 cm
225 _aDu monde entier
330 _aJames Morris, l’auteur de Visa pour Venise et d'Oxford, le reporter qui suivit pour le Times l’ascension de l’Everest en 1953, décrit un cas de transsexualité : le sien. «Trente-cinq ans d’une vie d’homme, dix ans d’indécision, et puis être moi-même le reste de ma vie…» Moi-même, c’est-à-dire une femme, Jan Morris. James Morris n’a jamais été un homosexuel: l’homosexuel aime ceux de son sexe. Ni un travesti : le travesti jouit de son ambiguïté. Dès l’âge de quatre ans, James Morris a eu la certitude d’être une fille dans un corps de garçon. Il y avait maldonne. Morris n’était pas un homme efféminé, mais une femme. Une telle certitude est inébranlable. En effet, aucun transsexuel n’a jamais été guéri par des thérapeutique psychiatriques. La recherche médicale la plus récente offrait une solution : faute de pouvoir modifier l’esprit, modifier le corps, par un traitement aux hormones d’abord, suivi d’une intervention chirurgicale. Morris s’y résolut. Cette poursuite désespérée d’une unité, cette métamorphose héroïque par ce qu’elle représente d’incompréhension à braver, de préjugés à vaincre, Jan Morris la décrit avec le talent et l’humour que le journaliste James Morris mettait autrefois à déchiffrer l’âme d’une ville.
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_tDu monde entier (Paris)
_x0750-7879
_v45
454 1 _tConundrum
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686 _2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française
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