000 | 02302cam a2200301 4500 | ||
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001 | 2791 | ||
010 |
_a2070404536 _bbr. _d20 F |
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020 |
_aFR _b09825629 |
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090 | _a2791 | ||
099 | _tLIVR | ||
100 | _a19980526d1998 m y0frey50 ba | ||
101 | 0 | _afre | |
102 | _aFR | ||
105 | _a||||z 00||| | ||
106 | _ar | ||
200 |
_aPlusieurs vies _bTexte imprimé _fRachid, O. |
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210 |
_a[Paris] _cGallimard _d1998 _e18-Saint-Amand-Montrond _gBussière Camedan impr. |
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215 |
_a152 p. _ccouv. ill. en coul. _d18 cm |
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225 |
_aCollection Folio _v3070 |
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330 | _a«L'été 1990, je suis allé en Suisse chez Vincent dont j'étais tombé amoureux. C'était la première fois que je prenais l'avion. J'étais fou de joie, d'une part parce que je prenais un avion, et d'autre part parce que pour la première fois je sortais du Maroc pour aller en Europe. Je ne connaissais pas très bien Vincent, je l'avais connu pendant quatre heures à peine, marchant sur la plage, à Rabat. C'était au mois de mai, nous étions tous les deux à marcher sur la plage. Il visitait le Maroc avec des amis à lui. La seule chose qu'il faisait tout seul et qui lui faisait plaisir, c'était de se balader sur cette plage, il en avait assez de tout faire avec eux. On avait parlé pendant très longtemps sur la plage, trois heures, et ensuite on était allés prendre un verre et je l'avais trouvé très agréable. Il avait des dents très très belles qui m'avaient frappé. Je lui avais dit, d'ailleurs. Il m'avait répondu qu'il était dentiste. Je trouvais qu'il n'y avait pas de raison d'avoir de belles dents parce qu'on était dentiste, et je lui ai dit : "Elles sont fausses, alors ?" Ça l'avait fait rire.» | ||
410 | 0 |
_034234540 _tCollection Folio _x0768-0732 _v3070 |
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610 | _a20ème siècle | ||
686 | _2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française | ||
700 |
_312465182 _aO. _bRachid _f1970-.... _4070 |
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801 | 0 |
_aFR _bFR-751131015 _c19980526 _gAFNOR |