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200 _a�Le �sabbat
_fMaurice, Sachs
210 _a[Paris]
_cGallimard
_dDL 1971
215 _a1 vol. (318 p.)
_ccouv. ill. en coul.
_d17 cm
225 1 _aLe livre de poche
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330 _aPetit-fils d'un diamantaire très estimé, Maurice Sachs est né à Paris en 1906. Il y mène la vie trépidante qu'il raconte dans Le Sabbat (1942). Appartenant au milieu artistique et littéraire de 1925 à 1940, il écrit de nombreuses chroniques, des essais sur Gide, sur Daumier, un roman (Alias), et traduit un certain nombre d'oeuvres étrangères. Maurice Sachs disparaît de France pendant la deuxième guerre mondiale. Il meurt mystérieusement à Hambourg dans une prison allemand en 1944. Il y a des vies paisibles, il y en a d'autres qui sont agitées, tumultueuses, toutes résonnantes de folies - un vrai sabbat, comme on dit - et la vie de Maurice Sachs est de celles-là. C'est lui-même qui l'a qualifiée ainsi dans le dernier livre que l'on connaisse e lui, et s'arracher à la ronde infernale de ce sabbat a été le dernier voeu qu'il formule en post-scriptum aux pages où il raconte son existence. Maurice Sachs a été une des figures les plus originales de l'entre-deux-guerre. Témoin de son époque, moraliste à sa manière, il raconte sans ménagements ce qu'il a vu, des Ballets Russes à la Nouvelle Revue Française, de Montmartre à Montparnasse, en passant par le Boeuf-sur-le-Toit. Il peint d'un crayon acéré Max Jacob, Maritain, Cocteau, Gide et bien d'autres. Telle est la confession d'un écrivain véritable, qui est aussi un enfant perdu, qui le sait et s'en désespère.
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_t�Le �Livre de poche
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