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_bbr.
_d15 EUR
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101 0 _afre
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106 _ar
200 _aTopographie
_bTexte imprimé
_fBenoit, Colboc
215 _a1 vol. (79 p.)
_d15 cm
225 _aSinguliers pluriel
_x2275-3893
330 _aIl y a une famille, ordinaire : inscrite dans son époque, avec ses habitudes, ses qu’en dira-t-on, son entre-soi ennuyeux. Chacun à sa place. La figure centrale est le père, et pourtant si peu là ; chacun s’appréhende en fonction de lui, sauf le « dernier » (le narrateur), décalé, hostile. Le suicide du père vient ébranler la distribution des charges et démentir les certitudes. Le "on ne dit rien à personne" s’entrouvre : refoulés pendant des années, les souvenirs de l'"enfant-prêté" refont surface. Les flous qui perduraient, déplacés sur le père et faisant de lui "un monstre", s'élucident. C'est avec une écriture boitillante, un récit désarticulé aux conjugaisons mélangées que l'auteur sature la fracture, puis la "concorde" possible entre père et fils, mais du côté d'une balafre commune : "je / tu / fondus / Nos démolis" -- dans l'ambivalence de la honte et de la culpabilité partagées.
410 0 _043879388
_tSingulier pluriel (Plounéour-Ménez)
_x2275-3893
_d2021
610 _apédocriminalité
610 _asuicide
610 _asecret de famille
686 _2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française
700 _317987099
_aColboc
_bBenoit
_f1982-....
_4070
801 0 _aFR
_bFR-751131015
_c20210701
_gAFNOR