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_bbr.
_d13 EUR
020 _aFR
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090 _a3142
099 _tLIVR
100 _a20040920d2004 m y0frey50 ba
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102 _aFR
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106 _ar
200 _aUn goût de cendres
_bTexte imprimé
_eroman
_fJean-Paul, Tapie
210 _aMontblanc
_cH&O éd.
_d2004
_e53-Laval
_gImpr. Barnéoud
215 _a155 p.
_ccouv. ill. en coul.
_d19 cm
330 _aExiste-t-il rien de pire que de perdre sa mère ? Oui : n'en éprouver aucun chagrin. Moi, quand la mienne est morte, je me suis réjoui de n'avoir rien de plus excitant à faire le jour de son enterrement. Alors j'y suis allé. Mais, première surprise : elle n'avait pas voulu être enterrée, elle avait souhaité être incinérée. Puis, deuxième surprise, ma sœur m'a demandé de respecter la dernière volonté de notre mère : aller répandre ses cendres dans un ruisseau de son pays natal, les Landes. Alors j'y suis allé. Enfin, pas tout de suite. Quelque chose m'en a longtemps empêché : Comme un goût de cendres dans la bouche.
610 _adeuil
610 _amère
610 _apays natal
686 _2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française
700 _312641335
_aTapie
_bJean-Paul
_f1949-....
_4070
801 0 _aFR
_bFR-751131015
_c20040920
_gAFNOR