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200 _aLa Bâtarde
_bTexte imprimé
_gPréface de Simone de Beauvoir
_fSimone de, Beauvoir
_fViolette, Leduc
210 _a[Paris]
_cGallimard
_d1964
_e(Le Mesnil-sur-l'Estrée
_gimpr. Firmin-Didot et Cie)
215 _a464 p.
_dIn-16 (20 cm)
330 _a« Mon cas n’est pas unique : j’ai peur de mourir et je suis navrée d’être au monde. Je n’ai pas travaillé, je n’ai pas étudié. J’ai pleuré, j’ai crié. Les larmes et les cris m’ont pris beaucoup de temps. Le passé ne nourrit pas. Je m’en irai comme je suis arrivée. Intacte, chargée de mes défauts qui m’ont torturée. J’aurais voulu naître statue, je suis une limace sous mon fumier. » Autobiographie sans remords et sans artifice, La Bâtarde revient sur l’enfance de Violette Leduc : la honte, la faute, son physique disgracieux, son attirance pour les deux sexes, ses amours, ses abandons, ses rendez-vous ratés. L’ouvrage retrace trente années, durant lesquelles elle travaille, écrit, souffre d’écrire, découvre le beau monde et se lie d’amitié avec Maurice Sachs et Simone de Beauvoir. Malgré des envolées lyriques éblouissantes, rien n’est enjolivé dans son écriture si exigeante, si précise ; toujours à la recherche du mot juste et cependant introuvable. Violette veut tout remuer, tout dire de sa mémoire brûlante. Sa plume perce l’épaisseur des années sans aucune concession. Écrire comme un acte de survie. D’une immense beauté, La Bâtarde permit à Violette Leduc de connaître enfin le succès, à l’âge de 57 ans.
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