000 02180cam a2200337 4500
001 552
010 _bBr.
_d35 F
020 _aFR
_b07323676
090 _a552
099 _tLIVR
100 _a19740101d1973 m y0frey50 ba
101 1 _afre
_cgrc
102 _aFR
105 _a||||z 00|||
106 _ar
200 _aLa muse garçonnière
_cEt Les amours
_g[traduits du grec et présentés par] Roger Peyrefitte
_fRoger, Peyrefitte
_fPoète érotique
210 _aParis
_cFlammarion
_d1973
_e80-Doullens
_gimpr. Sévin
215 _a1 vol. (153 p.)
_d22 cm
300 _aRéunit des extraits traduits de l'«Anthologie grecque» dite palatine et de l'«Anthologie» de Maximos Planude
330 _aLa « Mousa paidiké » occupe le XIIe livre de l’Anthologie grecque, dite palatine. Son auteur, Siraton de Sardes, Grec de Lydie, vécut au deuxième siècle de notre ère, comme Lucien de Samosate, Grec de Syrie. Toutes ces épigrammes, qui sont ce que la langue grecque a produit de plus hardi, ont été habillées en latin dans la traduction française de l’Anthologie, faite en 1863 par Dehèque, et qui en est encore, à ce jour, la seule complète. Il y remercie, dans la dédicace, «le professeur modeste et savant qui a jeté sur les nudités de la Muse de Straton le voile pudique de la phrase latine» — un voile souvent déformant. C’est cette traduction latine qui a inspiré une traduction française anonyme, publiée par la Bibliothèque des Curieux en 1911. Le subterfuge est transparent pour tout lecteur du texte grec. La traduction de Roger Peyrefitte est donc la première faite directement sur l’original.
454 1 _tMusa puerilis
500 1 1 _313179057
_aLa muse garçonnière
_mfrançais
_lExtrait
_k1973
610 _aAntiquité grecque
610 _aPoésie
610 _aAnthologie
610 _aHomosexualité masculine
686 _2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française
700 _312863380
_aStraton
_f01..-01..
_cpoète érotique
_4070
702 _311919491
_aPeyrefitte
_bRoger
_f1907-2000
_4340
801 0 _aFR
_bFR-751131015
_c19740101
_gAFNOR