000 01987cam a2200313 4500
001 5882
010 _a2951602359
_bbr.
_d22 EUR
020 _aFR
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100 _a20050421d2005 m y0frey50 ba
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106 _ar
200 _aAngkor, une dernière fois
_eroman
_fYouri Yaref
210 _aParis
_b115 rue Oberkampf, 75011
_cQuintes-Feuilles
_d2005
_e27-Mesnil-sur-l'Estrée
_gImpr. Firmin-Didot
215 _a167 p.
_ccouv. ill. en coul.
_d21 cm
330 _aQuelque part, peut-être, dans l’immensité des ruines d’Angkor, existe un endroit maléfique qui voue ses visiteurs au malheur et à la mort. Les centaines de milliers de touristes qui se rendent au Cambodge ignorent aujourd’hui cette superstition séculaire, révélée par Paul Claudel. Que faut-il en penser ? Le destin croisé de deux personnages de ce roman, amoureux du royaume khmer, de ses vestiges, de ses paysages et de ses garçons, peut aussi bien persuader le lecteur du bien-fondé du maléfice d’Angkor que le convaincre du contraire : le fatum du héros principal semble déjà tracé, dès les premières pages du récit, en dehors de toute malédiction. Du reste, ce sont la Vie et l’Amour, bien plus que la mort, qui dominent ce roman d’allure fantastique, lequel nous démontre combien il est important d’aimer qui nous aime vraiment. Il y un mystère qui entoure la vie et la personnalité de Youri Yaref, ainsi que de l’énigme que constitue sa disparition, en Thaïlande, durant l’hiver 2002.
610 _ahomosexualité masculine
610 _avoyage
610 _aAsie
610 _aroman
686 _2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française
700 _314626939
_aYaref
_bYouri
_f1968-2002
_4070
801 0 _aFR
_bFR-751131015
_c20050421
_gAFNOR