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_bbr.
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102 _aFR
200 _aLe Jardin d'acclimatation
_fYves Navarre
210 _aParis
_cFlammarion
_d1980
215 _a379 p.
_d17 cm
225 _aLe Livre de poche
_v5579
300 _aPrix Goncourt 1980
330 _aCe qui importe, c’est cette fresque grouillante de mots, ce portrait à l’acide d’une famille française qui glisse ses doutes, ses fêlures, se livrant avec nous avec lenteur et une certaine dureté. Toutes les fissures d’une vie, toutes les craintes, toutes les faiblesses s’y avouent par bribes. Jamais Navarre, peintre de la famille bourgeoise, ne s’était fait aussi précis, aussi poignant”. - Gilles Pudlowski, les Nouvelles littéraires. Vingt ans après, le jour anniversaire du crime sans cadavre, toute la famille Prouillan est secouée par un grand frisson d'horreur et de mémoire : c'est ce frisson qu'Yves Navarre raconte en 400 pages d'une densité, d'une tendresse et d'une férocité superbes. - François Nourissier. Le Figaro magazine. Par des touches, en sourdine, Yves Navarre dénonce le conformisme bourgeois, le rôle abusif du père, vis-à-vis de ses enfants, il parle de la solitude qui garde l'homme prisonnier de lui-même, il fait palpiter les coeurs, et même lorsqu'il fustige la famille, c'est un désarroi, un appel de tendresse que l'on devine entre les lignes. - Françoise de Comberousse. France-Soir
410 0 _tLe Livre de poche
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_d1980
610 _adrame familial
610 _aconformisme bourgeois
610 _alobotomie
610 _ahomophobie
610 _ahomosexualité masculine
686 _2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française
700 _311917461
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