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200 _aHilda
_bTexte imprimé
_fMarie, Ndiaye
210 _aParis
_cles Éd. de Minuit
_d1998
_e61-Lonrai
_gNormandie roto impr.
215 _a90 p.
_d18 cm
330 _aMme Lemarchand se met en quête d’une femme de peine, qui aura pour tâche à la fois de s’occuper de la maison et des enfants, et de l’aider à supporter la mortelle longueur des journées. Mme Lemarchand jette son dévolu sur Hilda dont elle a entendu dire beaucoup de bien. En premier lieu, qu’Hilda est parfaitement belle de visage et de corps. Puis, qu’Hilda ne fume pas, ne prend pas de médicaments. Mme Lemarchand n’a pas l’intention d’exploiter Hilda, ni même de la regarder comme sa bonne. Mme Lemarchand est une femme de gauche. Elle veut éduquer sa servante, la former à la chose politique, lui apprendre à penser. Mais, Mme Lemarchand va se heurter à la résistance d’Hilda, inexprimée mais sourdement hostile. Cette muette et sotte rébellion, elle fera tout pour la vaincre, pour le bien d’Hilda. Elle aimera sa bonne contre son gré et tentera de la façonner et de la modeler, éventuellement de l’imiter.
610 _athéatre
_aclasse
_aexploitation
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_v23
686 _2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française
700 _312016218
_aNdiaye
_bMarie
_f1967-....
_4070
801 0 _aFR
_bFR-751131015
_c19990216
_gAFNOR