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200 _aLa pensée straight
_bTexte imprimé
_gouvrage coordonné par Sam Bourcier
_fMonique, Wittig
205 _aNouvelle éd.
210 _aParis
_cEditions Amsterdam
_d2018
215 _a1 vol. (153 p.)
_d20 cm
300 _aTextes trad. de l'anglais
300 _aContient en guise de préfaces : "La révolution d'un point de vue" / par Louise Turcotte et "Wittig, la politique" / par Sam Bourcier
330 _aEn 1978, Monique Wittig clôt sa conférence sur « La Pensée straight » par ces mots : « Les lesbiennes ne sont pas des femmes. » L'onde de choc provoquée par cet énoncé n'en finit pas de se faire ressentir, aujourd'hui encore, dans la théorie féministe et au-delà. En analysant l'aspect fondateur de la « naturalité » supposée de l'hétérosexualité au sein de nos structures de pensées, que ce soit par exemple dans l'anthropologie structurale ou la psychanalyse, Monique Wittig met au jour le fait que l'hétérosexualité n'est ni naturelle, ni un donné : l'hétérosexualité est un régime politique. Il importe donc, pour instaurer la lutte des « classes », de dépasser les catégories « hommes »/« femmes », catégories normatives et aliénantes. Dans ces conditions, le fait d'être lesbienne, c'est-à-dire hors-la-loi de la structure hétérosexuelle, aussi bien sociale que conceptuelle, est comme une brèche, une fissure permettant enfin de penser ce qui est "toujours déjà là".
606 _313318808
_aFéminisme
_xAspect politique
_2rameau
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_aLesbianisme
_2rameau
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_aFéminisme et littérature
_2rameau
610 _aHétérosexualité
610 _aLesbianisme
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_v23
686 _2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française
700 _311929323
_aWittig
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_f1935-2003
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