000 02804cam a2200337 4500
001 6906
010 _a2010069765
_bbr.
_d100 FR
020 _aFR
_b08215448
090 _a6906
099 _tLIVR
100 _a19820810d1982 m y0frey50 ba
101 0 _afre
102 _aFR
105 _a||||z 00|a|
106 _ar
200 _aTravers
_h2
_iÉté
_fJean-Renaud Camus
_fDenis Duvert
210 _a[Paris]
_cFlammarion
_cpuis Hachette
_d1982
_e73-La Ravoire
_gImpr. réunies de Chambéry
215 _a411 p.-[1] f. de pl.
_d21 cm
225 1 9 _aLes Églogues
_v3
225 _aPOL
_x0181-6071
300 _aEté, dans l’ordre de publication, est le deuxième volume de Travers et le quatrième des Eglogues, cycle romanesque dont les éléments sont liés, bien sûr, et de multiples façons, mais où l'on peut entrer indifféremment par ici ou par là. Les noms qui selon la tradition précèdent le titre semblent évoquer ceux d'Albert Camus, auteur de L'Eté, de Tony Duvert, ou encore de Renaud Camus (Passage, 1975 ; Travers, 1978 ; Tricks, 1979 ; Buena Vista Park, 1980 ; Journal d'un voyage en France, 1981), de Denis Duparc (Echange, prix Fénéon 1977), ou de Tony Duparc (Travers, 1978). Indices, sans doute, d'identités floues, prêtes à lâcher, et d'un roman du nom. Or, le nom propre, dit Barthes, « C’est la voie royale du désir ». Mais Blanchot : «Je me nomme ; c’est prononcer mon chant funèbre.» Un homme triste erre à travers un petit port de Grèce, la nuit à la recherche d’un inconnu, et il pense au passé. Une femme est assise auprès d’un champ de blé et paraît lire une lettre. Un jeune pâtre, sous les murailles d’un vieux château près de la mer, joue sur sa flûte un air mélancolique. À New York, des policiers exégètes décryptent de prétendus romans d'avant-garde à la recherche de messages subversifs. Un illustre compositeur revient sans cesse à la porte de la chambre où étouffe sa petite fille. Hugo Wolf se prend pour le directeur de l'Opéra. Un criminel médecin fou, dans sa cellule, noircit frénétiquement page après page. Une adolescente repousse en dormant ses draps et découvre son corps ambré, étrangement arc-bouté. Sur la table de chevet, un verre à moitié vide. Là-bas, un indien qui s'enfuit. On aperçoit les arbres d’un parc. C'est l'été. La mort rôde.
410 0 _034226652
_tP.O.L (Paris)
_x0181-6071
_v7, II
461 0 _034296416
_tLes Églogues
_v3
610 _aRoman
610 _aLittérature
676 _a843.914
_v23
686 _2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française
700 _311894995
_aCamus
_bRenaud
_4070
701 _312603988
_aDuvert
_bDenis
_4070
801 0 _aFR
_bFR-751131015
_c19820810
_gAFNOR