000 01802cam a2200337 4500
001 6953
010 _a2070270653
_bbr.
_d26 F
020 _aFR
_b07015888
090 _a6953
099 _tLIVR
100 _a19710101d1970 m y0frey50 ba
101 0 _afre
102 _aFR
105 _a||||z 00|a|
106 _ar
200 _aÉden, Éden, Éden
_gpréfaces de Michel Leiris, Roland Barthes, Philippe Sollers
_fPierre Guyotat
210 _a[Paris]
_cGallimard
_d1970
215 _a277 p.
_d21 cm
225 _aLe chemin
330 _aLe grand désert, ses zones vivrières, pastorales, pétrolières, frontalières. La guerre, le viol des vivants et des morts, un crime passionnel, l’inceste, la faim. Un bordel de femmes pour les soldats, un bordel de garçons pour les ouvriers : quelques heures d’une exaltation sexuelle sans précédent, sans limites. Éden, Éden, Éden dérange dès ses premières pages, le lecteur s’y perd, puis s’imprègne de cette atmosphère « foutrement » scandaleuse, vécue comme une hallucination. Longtemps placé sous censure, ce livre devenu un classique laisse entendre, par-delà une mise en scène éclatante de la « monstruosité », un chant indestructible : le rire de l’innocent que l’on souille et qui ne le sait pas.
410 0 _034234634
_tLe Chemin (Paris)
_x0768-1682
_v73
610 _aRoman
610 _aProstitution
610 _aHomosexualité masculine
686 _2Cadre de classement de la Bibliographie nationale française
700 _312340001
_aGuyotat
_bPierre
_4070
702 _311912271
_aLeiris
_bMichel
_4080
702 _311890428
_aBarthes
_bRoland
_4080
702 _311925112
_aSollers
_bPhilippe
_4080
801 0 _aFR
_bFR-751131015
_c19710101
_gAFNOR