000 | 03109cam a2200337 4500 | ||
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001 | 7382 | ||
010 |
_a2859391754 _bbr. _d99 FR |
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020 |
_aFR _b08120339 |
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090 | _a7382 | ||
099 | _tLIVR | ||
100 | _a19811203d1981 m y0frey50 ba | ||
101 | 0 | _afre | |
102 | _aFR | ||
105 | _aa z 00|y| | ||
106 | _ar | ||
200 |
_aTombeau de Léonard de Vinci _ele peintre et ses tableaux dans l'écriture symboliste et décadente _fJean-Pierre Guillerm |
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210 |
_aLille _cPresses universitaires de Lille _d1981 _e59-Villeneuve-d'Ascq _gPresses de l'Université de Lille III |
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215 |
_a243 p. _cill., couv. ill. _d24 cm |
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225 | _aLittérature française | ||
300 | _aEn appendice, choix de textes de divers auteurs en français et en anglais | ||
300 | _aIndex | ||
330 | _aLes valeurs les plus consacrées ont leur histoire. Ce "Tombeau de Léonard de Vinci" rassemble et analyse les textes qui, à l'époque des Décadents et des Symbolistes, ont contribué à faire de Léonard et de la Joconde les modèles de référence de la culture picturale occidentale. A un moment où les sciences et les techniques occupent une place dans la civilisation moderne qui interroge nécessairement la capacité de pratiques culturelles traditionnelles, Léonard de Vinci, esprit universel et peintre, apparaît comme une figure mythique de conciliation des antagonistes. A un moment où la peinture "moderne" et la photographie mettent en crise la fonction "réaliste" du tableau, la Joconde, un portrait, devient le plus beau tableau du monde. Deux absolus d'autant plus mythiques que le réel est plus irrépressiblement éclaté et la prétention interprétative totalisante des élites plus désespérément vaine. Le culte du 19e siècle inaugure, apparaît ainsi comme la plus haute dénégation de l'impuissance de la culture telle que nous la vivons encore. Le propos n'est pas technique, il ne vise pas la "vérité", par quelque voie qu'on prétende la constituer, de Léonard et de son œuvre. Il ne s'agit que de décrire un processus complexe d'élaboration des représentations culturelles françaises en matière de peinture. Cela implique que les textes occupent le devant de la scène et que la critique d'art soit prise pour ce qu'elle est : l'organisation d'une croyance et un exercice d'écriture. La critique communique donc d'avantage avec la littérature qu'avec la connaissance, d'où la coexistence ici de textes qui appartiennent aussi bien à l'essai qu'au roman et qui sont produits par Taine, Michelet, Barrès, Valéry, Laforgue, Péladan... Mais aussi, le vincisme français convoquant l'Europe, par Walter Pater, d'Annunzio ou Merejkovsky. | ||
410 | 0 |
_034228295 _tLittérature française _x0246-4594 _v3 |
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600 |
_311912491 _aLéonard de Vinci _f1452-1519 _311976061 _xAppréciation _311976062 _z1870-1914 _2rameau |
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610 | _aLéonard de Vinci | ||
610 | _aPeinture | ||
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_311906412 _aGuillerm _bJean-Pierre _4070 |
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801 | 0 |
_aFR _bFR-751131015 _c19811203 _gAFNOR |