La muse garçonnière, Et Les amours ; [traduits du grec et présentés par] Roger Peyrefitte / Roger, Peyrefitte / Poète érotique

Translation of: Musa puerilisMain Author: Straton, 01..-01.., poète érotique, AuteurSecondary Author: Peyrefitte, Roger, 1907-2000, Éditeur scientifiqueUniform Title: 13179057La muse garçonnière, français, Extrait, 1973Language: français ; of original work, grec ancien (jusqu'à 1453).Country: France.Publication: Paris : Flammarion, 1973, 80-Doullens : impr. SévinDescription: 1 vol. (153 p.) ; 22 cmClassification: Abstract: La « Mousa paidiké » occupe le XIIe livre de l’Anthologie grecque, dite palatine. Son auteur, Siraton de Sardes, Grec de Lydie, vécut au deuxième siècle de notre ère, comme Lucien de Samosate, Grec de Syrie. Toutes ces épigrammes, qui sont ce que la langue grecque a produit de plus hardi, ont été habillées en latin dans la traduction française de l’Anthologie, faite en 1863 par Dehèque, et qui en est encore, à ce jour, la seule complète. Il y remercie, dans la dédicace, «le professeur modeste et savant qui a jeté sur les nudités de la Muse de Straton le voile pudique de la phrase latine» — un voile souvent déformant. C’est cette traduction latine qui a inspiré une traduction française anonyme, publiée par la Bibliothèque des Curieux en 1911. Le subterfuge est transparent pour tout lecteur du texte grec. La traduction de Roger Peyrefitte est donc la première faite directement sur l’original..Subject: Antiquité grecque | Poésie | Anthologie | Homosexualité masculine
Tags from this library: No tags from this library for this title. Log in to add tags.
    Average rating: 0.0 (0 votes)
Item type Current library Collection Call number Status Date due Barcode
Livre Collectif Archives LGBTQI+ Paris-Ile de France
Salle de lecture
Fonds Jean-Christophe Etienne Consultable sur place 10000187
Livre Le Brrrazero
Salle de lecture
R PEY (Browse shelf (Opens below)) Consultable sur place 100000000026

Réunit des extraits traduits de l'«Anthologie grecque» dite palatine et de l'«Anthologie» de Maximos Planude

La « Mousa paidiké » occupe le XIIe livre de l’Anthologie grecque, dite palatine. Son auteur, Siraton de Sardes, Grec de Lydie, vécut au deuxième siècle de notre ère, comme Lucien de Samosate, Grec de Syrie.
Toutes ces épigrammes, qui sont ce que la langue grecque a produit de plus hardi, ont été habillées en latin dans la traduction française de l’Anthologie, faite en 1863 par Dehèque, et qui en est encore, à ce jour, la seule complète. Il y remercie, dans la dédicace, «le professeur modeste et savant qui a jeté sur les nudités de la Muse de Straton le voile pudique de la phrase latine» — un voile souvent déformant.
C’est cette traduction latine qui a inspiré une traduction française anonyme, publiée par la Bibliothèque des Curieux en 1911. Le subterfuge est transparent pour tout lecteur du texte grec. La traduction de Roger Peyrefitte est donc la première faite directement sur l’original.

There are no comments on this title.

to post a comment.

Click on an image to view it in the image viewer